A la rencontre de Kopalia Nia, supportrice du Sénégal, d´origine kenyane, présente à Abidjan pour la CAN23


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Par Yeo Edna
Mis à jour le 2024-01-25 23:39:01

Dans la ferveur de la Coupe d'Afrique des Nations, nous avons croiser le chemin de Nia, une supportrice kényane , qui a traversé le continent pour vivre le football et soutenir le Sénégal.


  1. Qu'est-ce qui vous a motivée à entreprendre ce voyage pour assister à la Coupe d'Afrique des Nations en Côte d'Ivoire alors que votre pays n’y participe même pas?

«Ma motivation était profondément enracinée dans le désir de ressentir l'énergie unique du football africain. J'espérais créer des souvenirs mémorables et être témoin de la magie de la CAN en direct.

  1. Pouvez-vous nous décrire comment l'ambiance ivoirienne diffère de celle au Kenya, et quels aspects vous ont particulièrement marquée ?

L'ambiance en Côte d'Ivoire est différente, nous n’avons jamais organisé de Can. Ici, c’est la joie la solidarité et l’hospitalité. En 2027, le Kenya organisera sa première CAN et j’espère que l’ambiance sera pareil .

  1. Pourquoi soutenez-vous leSénégal?

Je soutiens le Sénégal pour son jeu dynamique et son esprit d'équipe exceptionnel. Il y a quelque chose d'inspirant dans la façon de jouer, il se battent sur le terrain, s’écoutent , sont synchronisés et défendent leur pays .

  1. En dehors du football, quels aspects de la culture ivoirienne avez-vous explorés, et qu'est-ce qui vous a le plus impressionnée ?

J'ai exploré la richesse culturelle ivoirienne, goûté à la cuisine locale le foutou et le placali , et visité des sites historiques. La diversité et la chaleur de la culture m'ont profondément impressionnée.

  1. Comment percevez-vous le rôle de la Coupe d'Afrique des Nations dans le renforcement de l'unité africaine à travers le sport ?

La CAN agit comme un puissant catalyseur pour renforcer l'unité africaine. Elle crée des liens entre les nations participantes, transcendant les frontières par le biais du sport.

 

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